Rendez-vous le 14 mai 2025 de 18h à 22h au Bar à photo pour voir l’exposition « Solitudes Parallèles » par Vivien Raynal visible jusqu’au 26 juin

L’exposition :
Dans le cadre du hors-les-murs du festival des Boutographies au Bar à Photo, l’artiste Vivien Raynal nous invite à explorer des mondes intérieurs qui coexistent sans toujours se rencontrer. Tel un archéologue du sensible, il révèle des fragments de réalités personnelles, influencées par les rêves, les blessures et les désirs. Chaque image fonctionne comme une constellation, isolée mais connectée, dans un univers où l’isolement devient une langue partagée.
Cette série photographique et numérique s’inspire d’environnements urbains en friche, de lieux oubliés, d’espaces de transition où le temps semble suspendu. Friches industrielles, routes désertes, intérieurs figés : ces paysages deviennent les témoins silencieux de notre vulnérabilité. À travers une esthétique colorée, parfois acidulée, et une mise en scène épurée, l’artiste crée un contraste fort entre la beauté visuelle et la mélancolie du propos.
Solitudes Parallèles ne montre pas, elle ressent. Loin de tout réalisme documentaire, cette exposition donne forme à l’absence, au vide et à l’immobilité. Chaque photographie ouvre une brèche dans le réel, un espace d’introspection où le spectateur peut projeter ses propres silences.
En célébrant l’imperfection, les failles et la marginalité, Vivien Raynal oppose une douce résistance au culte de la performance et du contrôle. Il nous rappelle que c’est dans ces interstices que réside ce qui fait de nous des êtres profondément humains.
Cette série photographique et numérique s’inspire d’environnements urbains en friche, de lieux oubliés, d’espaces de transition où le temps semble suspendu. Friches industrielles, routes désertes, intérieurs figés : ces paysages deviennent les témoins silencieux de notre vulnérabilité. À travers une esthétique colorée, parfois acidulée, et une mise en scène épurée, l’artiste crée un contraste fort entre la beauté visuelle et la mélancolie du propos.
Solitudes Parallèles ne montre pas, elle ressent. Loin de tout réalisme documentaire, cette exposition donne forme à l’absence, au vide et à l’immobilité. Chaque photographie ouvre une brèche dans le réel, un espace d’introspection où le spectateur peut projeter ses propres silences.
En célébrant l’imperfection, les failles et la marginalité, Vivien Raynal oppose une douce résistance au culte de la performance et du contrôle. Il nous rappelle que c’est dans ces interstices que réside ce qui fait de nous des êtres profondément humains.
Le photographe :
Photographe et artiste pluridisciplinaire, Vivien Raynal puise dans la musique, le dessin et le cinéma pour composer des univers où se mêlent l’intime et le déracinement. Grand voyageur, il explore les villes, les zones frontières et les états modifiés de conscience à la recherche d’images qui résonnent comme des souvenirs enfouis. Son travail questionne la solitude, le passage du temps et la fragilité de nos identités.